Death Island histoire!!

Je m’appelle Daisuke, j’ai 16ans voici
mon meilleur amis, Haiiro Sekei et une amie que je ne connaisse pas quand je suis parti, nous nous somme rencontré sur la plage, Misa Mï.
Nous sommes assis sur la plage d’une
île inconnue, perdu au milieu de l’océan. Cela fait deux jours que nous
attendons un bateau ou toutes personnes susceptibles de nous venir en aide, mais personne. Qu’espérons nous après tout, nous somme perdu sur une île dont personne n’a jamais entendu parler, rayé des cartes. Nous nous asseyons sur le sable, et tout en fixant les débris de notre bateau, nous nous remémorons les, dernières 24h...

Il était 18h, un dernier au revoir à nos parents, à nos amis avant d’embarquer sur se bateau gigantesque qui, sans le savoir nous amenait
vers une mort certaine. Nous étions partie pour un voyage scolaire d’un mois. Plusieurs école de tous le pays c’étaient joins à nous, des enfants âgé de 10 à 18ans ainsi que quelques famille qui souhaitaient surement prendre des vacances, mais le destin en avait décidé autrement. Nous étions tous excité a l’idée de se voyage, certain adoraient voyager, d’autre pensaient en profité pour déclarer leur flamme et d’autre encore sautaient de joie a l’idée de quitter leurs parents tyranniques et pourtant j’étais le seul à qui se voyage n’inspirait rien de bon. Etais ce un présage ? Je me le demande encore.

1h du matin…
Beaucoup d’élèves se trouvaient dans leurs dortoirs à
jouer malgré que cela était interdit, pendant que d’autre dormaient tranquillement. Les cabines des élèves se trouvaient tout au fond du bateau tandis que celles des adultes se trouvaient a l’avant du bateau la ou les loges sont les plus luxueuse. Tous semblaient s’amuser, aussi bien les enfants que les professeurs, lorsque soudain, le bateau fut secoué et stoppa net. Le temps semblait c’être figée nous n’entendions plus que la coque du bateau grincer et au milieu de se silence de mort, se levait une brume épaisse, un courant d’aire me glaça le sang et me parcourra tout le corps, plus de courants, tous les passages commence à s’inquiéter. Le capitaine du bateau sort sur le quai, fixant l’horizon d’un air inquiet, mais il reprit tout de suite son calme jugeant cette panne superficiel. Soudain les secousses reprennent plus importante que les précédentes, plusieurs adulte arrivent sur le pont, une masse noir monstrueuse se dessinait dans la brume, les yeux du capitaine s’écarquillaient, quand soudain il fut éjecter du bateau par une pince géante, les adultes paniquait l’alarme se déclencha un vent de panique se propagea sur le bateau.
L’immense masse relança un asseau brisant le bateau tel un vulgaire bout de bois.

Le personnel du bateau criait dans les couloires :

« Dépêchez vous ! Dirigez vous vers les canots de sauvetages, le bateaux coule »

L’avant du bateau s’enfonçai dans l’eau, beaucoup d’adultes mourut ne pouvant rejoindre asse vite les canots, tous les enfants se précipitaient a l’arrière pour montée dans un canot.

« Les derniers ont embarqués, il n’y a rien à faire pour les autres, vite fuyez » Cria l’un des employées

Les quelques barques s’éloignait petit à petit du bateau qui avait disparu dans les profondeurs de l’abime, emporté par l’immense masse noire.

A notre réveille, nous nous trouvions tous sur une plage de sable fin, et c’est a se moment que nous comprimes que nous étions livré a nous même. Bravant cascade et foret nous arrivâmes enfin a une sorte de manoir. Que pouvait bien faire un manoir au milieu d’une île déserte ?
C’été idée fut vite chasser par celle de la faim et nous nous décidâmes à entrer.
Derrière l’immense porte du manoir, se trouvait un hall immense éclairé comme si quelqu’un attendait notre avenu. Au moment ou le premier passa le seuil de la porte un cri monstrueux retentit, alors nous nous abritâmes bien vite dans le manoir. Le hall était replie de tables elles même recouverte de draps, l’un de nous se décidât et en souleva un. Des armes, les tables était rempli d’armes de tout genre : armes à feu, armes blanches, explosifs.

Nous comprimes a se moment que nous n’étions pas sur une simple île et que nous devrons tous surpasser notre peur, pour survivre.

Une chose est sur, nous allons débuter un jeu ou les règles son simple :

SURVIVRE

VOILA SI SA VOUS CONVIENT JE FERAIT EDITE ET JE SUPRIMERAI

MON POSTE ET JE REMPLASSERAI L'HISTOIRE DE DAISUKE